Parc des grandes fougères

Nous quittons à présent la côte Est par la transversale Kouaoua – Farino ( grâce à ce premier village j’aurais en tête la super chanson chiwawa taaatatattam taatatattamm chiwawa !… pour ceux qui connaissent ! )

Et nous sommes très contents d’arriver dans cette région.

Trois villes principales, La foa, Farino et Sarraméa.

Farino dont la quiétude de la région et son relief ont inspiré son surnom : la Petite Suisse. Peut être est ce pour cela que dès notre arrivée on s’y sent bien ?! Le besoin de voyager, découvrir autre chose et ce paradoxe  dans lequel on se sent finalement bien dans ce que l’on connait.

Les gens tout comme ailleurs dans le reste de l’île sont très chaleureux.

C’est certainement avec ce paysage que nous accrochons, vert sans qu’il ne soit trop étouffant, et par endroit des reliefs plus sec sans le côté aride de la côte Ouest.

Les activités ne manquent pas même si nous n’en avons pas pratiqués.

Le parc des grandes fougères est à cheval sur deux de ces communes ( Farino, Sarraméa mais aussi Moindou ) Une mosaïque de forets sèches et humides parcourues de rivières, présentant une biodiversité riche dont un grand nombre d’espèces de fougères et une densité étonnante de palmiers endémiques.

La partie centrale est dédiée à la randonnée pédestre, une autre à la chasse de cerfs ( et là ‘tention, on ne dit pas cerfs comme chez nous, mais veiller à prononcer cerffff en marquant le « f » ! ) .

Donc ne pas verser de larme ( bien que de pauvres petites bêtes soient tout de même tuées ) mais il « parait » ( parce que nous ben on en a pas vu un seul à l’état sauvage ) que la Nouvelle Calédonie est envahie par les cerfs, et donc le quota de chasse est très élevé, presque on te donne une prime sur la bête tuée.

Fougères arborescentes

Foret de Niaoulis, ces fameux seuls arbres résistants aux feux grâce à leur écorce dotée d’une multitude de fines couches superposées et imbibée d’eau.